Polars en Sud Alsace

vendredi 27 mai 2022

Morgenspat et l'affaire des cinémas de quartier

Quand les anciens cinémas de quartier de Mulhouse refont surface...

Le dernier né de chez Morgenspat enquête est « L’Etoile ; 2 Maîtres ». Une enquête de Morgenspat et son équipe sur des meurtres par empoisonnement à des endroits précis où, auparavant, il y avait eu des salles de cinémas.

Alors, j’ai mené ‘mon’ enquête. Où se trouvaient les ‘cinémas de quartier’, quand et pourquoi ont-ils fermé et qu’est-ce qui a inspiré le titre du polar.

J’ai commencé par le titre. Je me suis dit : « Pourquoi j’aurais mis un titre pareil ? » et je suis parti sur : « les toiles de maîtres » pour des tableaux ; « l’étoile du ciel » pour les ‘stars’ ; « les toiles » de l’expression ‘se faire une toile’ soit un film projeté sur un drap ou une toile, etc. mais 2 maîtres ? J’ai dû lire le livre pour comprendre : ils étaient 2 patrons à diriger l’affaire.

Ensuite, j’ai fait des recherches sur ‘le cinéma l’Etoile’ à Mulhouse. Et il a vraiment existé ! C’était près du ‘Marche/canal couvert’, rue Schwilgué. Mais, apparemment, c’était une salle qui passait des films en arabe ! Je n’ai pas réussi à en savoir beaucoup plus.

An suivre…

Vous avez aimé mon post ? Vous aimerez aussi celui de mes amis : Atelier d’écritures, avidoxe ; cap. Margenspat ; polars-thrillers-poésie ; dinadedan ; EcrirePastel ; Elsass-by-Nath ; Eric Valloni ; Ant Askman, Dina de Dan V.DiMarco, Polars en Sud-Alsace et VittorioDenim

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vendredi 20 mai 2022

Mieux que le polar

Mort empoisonné devant un cinéma...

Il y a quelques années, le polar était aussi appelé « roman de gare ». Mais, qu’est-ce qu’un roman de gare ?

La définition est pourtant assez simple : un livre qui nous permet de ne pas penser au voyage sans nous obliger à la réflexion et qu’on peut se remettre à lire lors d’un voyage suivant sans problème. C’est donc aussi une histoire simple et courte, avec des chapitres courts, qu’on peut laisser et reprendre sans trop réfléchir où on était.

Pourquoi je vous parle de cela ?

C’est parce que dernièrement, quelqu’un m’a dit : « ils sont bien courts, vous polars ; le dernier que j’ai lu avait 224 pages seulement. » J’ai répondu « C’est vrai mais, en revanche, les évènements sont concentrés ; pas de PUB ou autre élément inutile au bon suivi de l’enquête. Là, vous êtes pris du début à la fin. Vous êtes dans l’énigme tout le long de l’histoire. »

Et c’était là le principe des ‘romans de gare’ : permettre au client de reprendre salecture à n’importe quel moment de l’histoire, lu ou pas lu !

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samedi 14 mai 2022

Le polar de mon enfance

et ceux d'après

Comme je vous l’ai dit lors de mon post du 12/04, le dernier livre que j’ai lu fait 884 pages. C’est bien mais un pavé pareil a intérêt à être intéressant. Celui-ci l’était mais un autre qu’on m’a offert en même temps a été écarté à la page 84 ! Et je trouve que j’ai tenu longtemps !

Quand j’étais jeune, il y avait « Les Misérables » de Victor Hugo qui se composaient de 3 gros livres. Ils ont dû attendre que je prenne de l’âge pour être lus. Pourtant, l’histoire est intéressante. Mais, c’est trop lourd, trop barbant ! J’avais entre 10 et 15 ans ! Pour me retenir, il fallait m’intéresser àchaque page, pas à chaque chapitre.

Par contre, ma lecture préférée était « OSS-117 », un polar de plus ou moins 220 pages et un jeu de mots presque à chaque titre. Voilà qui me plaisait, qui donnait envie d’être lu. Et j’en ai lus !

Actuellement, les polars, c’est moi qui écris. Mais je choisis mon format et le nombre de pages. Et, selon l’âge, je propose un format « manga » « A5 » ou « 11x17 » avec le nombre de pages et les caractères appropriés pour, 1) éviter le côté barbant et, 2) inviter un maximum de personnes à la lecture. Eh ouais !

Alors, n’ai-je pas raison ?

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mardi 12 avril 2022

Apprendre avec les polars

Un polar, c’est un policier sans la lourdeur du roman. Belle définition, je trouve. Merci, elle est de moi. C’est donc de la lecture « récréative » pour tous, ceux qui lisent parce qu’ils aiment, parce qu’ils la préfèrent à un film, parce qu’ils ont plus d’imagination que les mots qu’ils lisent, etc. et ceux qui n’aiment pas lire ou alors il faut faire court.

Un polar est donc un livre qui met tout le monde d’accord.

Et puis, il y a ceux qui trichent et te balancent un polar de 900 pages ! Ceux qui n’aiment pas lire sont rebutés ! Et les autres applaudissent. Ils en redemandent même. Et ça marche !

Enfin, ça marche quand il y a des rebondissements à chaque chapitre, comprendre plusieurs fois par chapitre et à tous les chapitres… Le vrai lecteur aime être surpris. Il aime apprendre des choses, aussi.

Par exemple, voici ce que j’ai trouvé en page 884 de « Je suis Pilgrim » de Terry Hayes : « Dans une guerre, la première victime, c’est la vérité. » Et j’ai pensé à la guerre du moment menée par les ourss qui nient même que c’est une guerre… contre l’Ukraine, qu’il y a des civils qui sont tués, etc. Ça valait le coup d’arriver en page 884, non ?

Donc, 'Je suis Pilgrim' est un bon polar.

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